Sous un ciel crépusculaire, le parking de la Voie Verte, niché entre La Motte-Servolex et Le bourget du lac en Savoie , exhale une aura de mystère et de promesses interdites. Ce coin discret, connu des initiés pour ses rencontres , s’anime à la tombée de la nuit. Ce soir-là, l’air est tiède, chargé d’une tension électrique. Je viens de poser mes valises à l’hôtel après un long déplacement pro. Une douche rapide, un jockstrap enfilé pour l’occasion, et me voilà en route vers ce lieu de débauche à 18h30, le cœur battant d’anticipation.
Le parking est presque désert. Deux voitures stationnent, mais leurs occupants, des silhouettes grises et sans attrait, ne m’inspirent rien. Je m’installe dans mon SUV, patient, scrutant l’horizon. Soudain, un fourgon Renault Trafic déboule, freine brusquement près de moi et se gare en biais devant mon capot. Un homme en descend, la quarantaine bien entamée, allure virile, cheveux poivre et sel, jean moulant. Il fait le tour du parking, passe devant ma voiture, me jette un regard furtif, puis s’adosse à son fourgon, côté bois. Intrigué, je l’observe dans la pénombre. Ses gestes sont sans équivoque : il défait sa ceinture, baisse légèrement son pantalon et commence à se caresser, sûr de son effet.
L’excitation monte. Je descends de mon SUV, l’alarme clignote dans la nuit. Mes pas crissent sur le gravier alors que je m’approche, le souffle court. Arrivé au coin du fourgon, je le vois de près : un mâle alpha, baraqué, une queue impressionnante déjà raide, épaisse, avec un gland luisant qui appelle ma langue. Sans un mot, je m’agenouille, ma bouche s’empare de son membre. Il grogne de plaisir, me traite de "petite salope" tout en poussant sa bite plus loin dans ma gorge. Je déboutonne mon jean, le fais glisser pour dévoiler mon jock, mon cul offert à la nuit.
Il sort un flacon de poppers, me le colle sous le nez. L’odeur chimique m’envoie dans un autre monde, ma tête tourne, mon désir explose. Je suce avec une ferveur presque animale, gémissant autour de sa queue. Il sniffe à son tour, ses mains deviennent baladeuses, glissant sur mes hanches, puis vers mon cul. Ses doigts, mouillés de salive, titillent ma rondelle, m’arrachant des frissons. "T’aimes ça, hein, salope ?" murmure-t-il en enfonçant un doigt, puis deux, me préparant avec une précision de prédateur.
Soudain, un mouvement sur le côté. Un des gars des voitures, un brun d’une trentaine d’années, s’est approché. Il se branle, les yeux rivés sur nous, sa queue respectable à la main. L’excitation grimpe encore. Mais ce n’est pas tout : une troisième silhouette émerge des ombres. Un motard, la vingtaine, casque sous le bras, combinaison de cuir entrouverte, s’avance. Grand, musclé, un regard de feu.
Il ne dit rien, mais son érection visible à travers le cuir parle pour lui. Le quinqua, sans perdre son rythme, me fait signe de continuer à sucer tout en invitant le motard d’un hochement de tête.
Le motard s’approche, baisse sa combinaison, libérant une queue longue et fine, déjà luisante. Je passe d’une bite à l’autre, ma bouche débordée par ces deux mâles qui me dominent. Le brun, lui, se branle plus fort, murmurant des obscénités. Le quinqua, maître de la scène, me redonne du poppers, me faisant planer encore plus haut. Puis, d’u ...
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