Je me suis découverte comme femelle perverse lorsque j’ai dépassé la trentaine.
Pourtant, en regardant en arrière, dès le début de mon adolescence, tous les voyants indiquaient déjà clairement mes inclinations.
Mes proches amis étaient tous très efféminés, je voyais les autres garçons devenir musclés alors que je restais frêle.
je ne me battais jamais et quelques fois je me faisais battre par certains qui avaient envie de montrer leur domination.
Je me sentais faible et je recherchais souvent la protection de plus forts. Je me mettais sous leur aile, naturellement.
Très jeune, j’ai découvert que j’avais un sexe et j’ai vu qu’il pouvait bander. Ce fut une découverte pour moi, je n’y étais pas du tout préparé et puis un jour je l’ai touché plus que de raison. Ce fut une encore plus grande surprise quand j’ai vu ce liquide blanc épais sortir et le plaisir qui l’accompagnait, ce fut une révélation.
Du jour où j’ai fait cette découverte, je me suis masturbé frénétiquement plusieurs fois par jour pendant des années.
J’ai recherché de nouvelles sensations : j’allais souvent me mettre nue dans la nature et je me masturbais.
Je commençais à aller voler les petites culottes étendues sur les étendoirs des voisines.
Je retournais sur mes lieux dans la nature, je mettais ces culottes et je me masturbais encore…
Je ne réalisais toujours pas que j’étais à deux doigts de me révéler comme une femelle.
Je recherchais toujours plus de sensations.
Je commençais à chiper des livres porno (réalisés à partir de films porno, ce que j’ai compris plus tard) chez les buralistes. Je tombais sur des chefs-d’œuvre et je continuais à me masturber de plus belle.
Je ne rencontrais pas de filles pendant cette période car j’étais trop occupé à gérer ma fougue sexuelle…
Avant mes 20 ans, j’ai dû faire une opération pour l’ablation d’une partie de la peau du prépuce car mon sexe ne se décalottait pas complètement (encore un signe que mon clito n’était pas conçu pour que je m’en serve comme un vrai mâle).
Puis, j’ai commencé à avoir mes premiers rapports avec des filles. Mais cela ne me suffisait pas et j’ai commencé à aller dans les cinémas pornos chaque fois que je le pouvais.
Je ne réalisais toujours pas mon attirance pour les hommes. Mais encore une fois, tout aurait pu « basculer » pour que je devienne une bonne femelle soumise à n’importe quel moment…
J’ai fait ma vie tout en continuant à fréquenter les ciné pornos et les sexshops.
Je baisais toutes les filles que je pouvais (j’ai découvert très tôt le plaisir de sodomiser les femmes) jusqu’à la veille de la trentaine.
J’ai continué cette vie, toujours sans franchir le cap avec les hommes.
Puis, à cette période-là, j’ai dû aller à l’hôpital pour une opération bénigne.
La veille de l’opération, les infirmières ont rasé intégralement mon sexe.
Cela a été une autre révélation dans ma vie.
Ce soir-là, la veille de l’intervention, le fait de voir mon sexe totalement lisse m’a rendu fou d’excitation. Je passais tout mon temps à me toucher, me caresser et je me suis masturbé plusieurs fois dans la nuit.
A partir de ce moment-là, j’ai toujours gardé mon sexe glabre, ce qui me maintenait dans un état d’excitation permanent.
Peu après je suis parti en voyage dans les pays de l’est, où j’ai rencontré beaucoup de femmes, et j’ai encore beaucoup pratiqué la sodomie avec ces femmes.
Ce voyage m’a beaucoup marqué, j’ai découvert cette féminité exacerbée des femmes de l’est mais aussi les saunas et hammams, et tout ce que l’on peut y faire quand on y va avec des femmes (cabines privées, etc).
Quand je rentré en France, j’ai recherché si ce type de lieu existait. C’est à ce moment que j’ai découvert qu’il existait des saunas « non conformistes ». Le concept m’a immédiatement séduit…
Je me suis rendu dans l’un de ces établissements pour découvrir ce qui se cachait derrière la lourde porte d’entrée, je ne savais pas du tout ce qui m’attendait, internet n’était qu’à ses débuts.
Après une première expérience dans ces établissements, j’ai tout de suite accroché.
J’adorais me mettre nue devant tout le monde, me faire sucer et baiser des femmes en public. J’adorais l’exhibition.
Puis, j’ai commencé à aller de plus en plus souvent dans ces établissements partout où je me trouvais en déplacement. A chaque occasion, je trouvais un sauna.
J’ai fait le tour de France du sexe, plusieurs fois.
Un jour, je souviens c’était à Dijon, je vais dans un sauna, et là je rencontre un couple. La femme était particulièrement excitante.
Je me suis approché mais le gars m’a dit qu’ils recherchaient des hommes bi et que si je voulais baiser sa femme de partout, il fallait que j’accepte de faire ça avec tous des deux.
Pas du tout préparé à cela, je les ai quand même rejoint…
Ils m’ont sucé à deux, j’ai pris sa femme de partout et surtout par le cul.
C’est la première fois que je me faisais sucer par un homme. Cela a été le franchissement d’un cap majeur pour moi. J’avais brisé un tabou.
J’ai continué à fréquenter les saunas mixtes, cinés x et sexshops mais quelque chose avait changé.
Cette relation avec le couple de Dijon, avec l’homme, m’avait totalement désinhibé mais je ne l’ai pas su immédiatement.
Un jour, je vais dans un sauna mixte à Lyon, toujours avec une grosse envie de sexe (que je pensais hétéro).
Mais là, je ne vois que des hommes bien que ce n’était pas un sauna gay. Comme je me disais chaque fois quand c’était comme ça « tant pis, il reste toujours le plaisir du sauna, même s’il n’y a ni femmes ni couples »…
Du coup, je vais dans le hammam, il y a peu de place. Quelques hommes sont assis et je ne peux m’asseoir qu’entre deux hommes âgés. On est un peu à l’étroit. Ils ont la soixantaine environ, les cheveux blancs.
Je m’assois nue, avec mon corps frêle, m ...
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