Ce soir là, une folle envie me tenaillait, aussi je décidais de tenter ma chance. Rapidement je me déshabille complètement, enfile un petit chemisier en soie transparent, une mini jupette, des bas résille noirs et une paire d'escarpins. Une perruque brune, un brin de maquillage. La nuit est tombée depuis plusieurs heures. Je jette un œil : personne de mon entourage à l'horizon ; je saute dans ma voiture et me voilà parti.
J'avais entendu parler d'un parking en campagne, fréquenté par les poids lourds, je prends la décision de m'y rendre. On verra sur place. Au bout d'une vingtaine de kilomètres, me voici arrivé, quelques lampadaires éclairent le parking. Plusieurs camions y sont effectivement garés. Je range la voiture à proximité de l'un d'eux, et je descends. Je me dirige tranquillement vers les toilettes, en chemin je fais tomber la clé de la voiture et me baisse pour la ramasser, exposant ainsi mon postérieur à la lumière du lampadaire. Je fais rapidement le tour des toilettes, n'ayant aucune envie de m'y faire prendre, ce petit trajet ayant pour seul but de signaler ma présence sur le parking.

De retour à la voiture je me réinstalle au volant et déboutonne mon chemisier laissant ainsi deux petits seins presque féminins accessibles.De longues minutes s'écoulent, sans que rien ne se passe. Soudain une ombre se projette sur le macadam, un homme s'approche, hésite. Je baisse la vitre et lui adresse un sourire. IL vient alors au plus près. Il passe la main et commence à me caresser un sein. Ne voulant pas être en reste, je passe le bras par la portière et pose la main au niveau de sa braguette et y rencontre une bosse bien ferme. Sans hésiter, je baisse le zip du jean, il ne porte pas de slip, et ma main est immédiatement au contact de son sexe qui raidit sous mes doigts. Alors, sans hésiter, je me mets à quatre pattes sur le siège, passe le tronc par la vite ouverte et ma bouche s'empare de son sexe. De son côté il a dégrafé sa ceinture et baissé son pantalon faisant apparaître un sexe bien rasé. Sa bite est raide, pointée vers moi, chaude, elle surmonte une belle paire de couilles qui semblent bien peines. Il entre profondément dans ma bouche, heurte le fond de ma gorge, ma langue s'enroule autours de la tige de chair palpitante. Je suce, caresse, aspire et lui administre une superbe fellation, n'aspirant qu'à une chose, recevoir une bonne rasade de sperme.

Tandis que je m'applique ainsi, j'entends s'ouvrir la portière côté passager. Tout à mon action, je ne me tourne pas : il arrivera ce qui arrivera. Deux mains retroussent ma jupette, mettent à l'air mon postérieur qu'aucun slip ne protège et commencent à me ploter consciencie ...

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