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histoires en vrac

Publié par : pachapassif le 29/04/2020

Première rencontre

Ce n’est pas facile à raconter.
En fait j’avais après pal mal de recherches en 1995 trouvé un service audiotel ou on pouvait rencontrer des mecs, alors je me suis lancé et j’ai pris un rendez-vous avec un garçon nommé Rock.

Je m’en souviens très bien, j’avais rendez-vous avec lui rue Quentin Bauchard à Paris près de la place de l’étoile vers 14 heures, je n’en menais pas large, mais alors pas large du tout, je dois dire que j’avais même des sueurs froides en me rapprochant du lieu de rendez-vous, un bel appartement au quatrième étage d’un immeuble Haussmannien.
Je sonne à la porte, j’attends un petit moment, la porte s’ouvre et là je découvre un très beau mec de 28 ans super bien foutu, 1,80 m blond très stylé, pas efféminé mais un peu quand même.

Il me fait entrer dans son appartement, on se salue et on s’assoit dans le séjour et il me propose une boisson de surcroit alcoolisée et on discute environ dix minutes le temps que je récupère mon souffle et mon calme, car j’étais très agité.

Ensuite il me fait signe de le suivre, nous traversons la cuisine et nous sortons par une porte de service et montons un étage de plus pour se retrouver dans une chambre de bonne bien aménagée. (Un lit propre, un lavabo et des ustensiles que je n’avais pas remarqués au tout début, en fait, il y avait deux chaines qui pendaient au mur avec des bracelets en cuir au bout de ces chaines).

Il fut très bien avec moi car il avait bien compris que c’était une première fois, et m’a entrepris avec beaucoup de douceur, je me suis mis à l’aise et a vrai dire je ne savais pas quoi faire, alors il est venu derrière-moi et à commencer à me caresser, il m’a déshabillé entièrement et je me suis allongé sur le lit è plat-ventre, il a entrepris un massage complet de mon corps depuis la tête jusqu’aux pieds (en fait j’adore les massages), bien sûr cela fait tout drôle quand il te passe les mains entre la raie des fesses, et s’insinue sous ton ventre pour trouver ton sexe.
Il a tant et si bien massé mon anatomie que je me suis rendu compte de rien, évidemment nous nous étions mis d’accord sur le but final de notre rencontre, il a, à un moment du massage pris du gel et enduit mon derrière comme il se doit, j’ai entendu le bruit sec de la capote quand il l’a enfilée et la suite a été, je n’en reviens pas encore, très agréable, un massage progressif de l’anus et une pénétration qui ne m’a pas fait mal du tout.

Bref en sortant de chez Rock je savais que j’y reviendrai.

Ce jour-là j’étais seul chez moi quand je suis revenu à la maison ma femme et mes enfants étaient en en vacances.
J’ai médité longuement ce moment et je ne l’ai jamais regretté.
Au contraire j’étais fier de ce que j’avais osé faire et me suis dit qu’il fallait quand même être gonflé à 45 ans pour oser.




La fessée de Carlos

J’avais mis une annonce dans mundo anuncio disant que je cherchais des hommes actifs et que j’aimais recevoir la fessée éventuellement, j’ai donc reçu plusieurs propositions dont celle d’un certain Carlos me faisant part de son intention de me rencontrer et de plus qu’il était intéressé par la fessée.
J’ai donc pris rendez-vous avec Carlos pour prendre un café sur le prado à 11 heures, j’étais a l’Alexander café en train de siroter mon café quand j’ai vu Carlos qui me cherchait à l’extérieur du café, je lui ai fait signe et il est entré s’asseoir à ma table et nous avons discuté.
Il a 25 ans et étudie la médecine en cinquième année, il porte des lunettes et a l’air très sérieux.
Il m avoue vite qu’il est intéressé par la fessée sur quoi je réponds que moi aussi et que j’aime la recevoir comme la donner. Je lui propose d’aller rue Ecuador.
L’ endroit où on loue des chambres pour 25 bolivianos de l’heure nous montons cote à cote jusqu’ à l’endroit, il est 11h45 quand on entre dans la chambre 6 au fond du bâtiment je referme la porte et mets le loquet, je pose mon sac et j’enlève ma veste, Carlos s’aventure à me tâter les fesses et me dit qu’elles sont fermes, je lui demande ce qu’ il veut faire et me répond qu’ il aimerait bien donner la fessée pour la première fois de sa vie. Je comprends vite le message et lui explique qu’il y a un code à respecter, jaune pour une pause et rouge pour arrêter la fessée et que le fesseur doit respecter le fessé. Je mets alors la télévision en marche et je monte le volume car les chambres ne sont pas très bien isolées et la fessée à mains nues est relativement bruyante. Carlos s’installe sur le lit assis, je me mets en travers de ses genoux, les mains parterre et le postérieur sur ses genoux. Je lui dis de commencer la fessée ainsi et d’aller progressivement, je sentais qu’il n’était pas à l’aise car j’étais encore habille, j’ai insisté pour qu’il frappe mes fesses à travers le jean , il se prend au jeu et frappe de plus en plus fort mon postérieur à travers le pantalon , je lui suggère d’aller plus loin, je me relève et baisse moi-même mon pantalon et me remets en position, il reprend la fessée et je sens qu’il apprécie la situation, il est excité , je le sens se raidir sous moi, mais hésite toujours à frapper plus fort car il ne connaît vraiment rien de la fessée .Je lui dit plus fort et il entreprend une fessée magistrale, il monte alors le son de la télé, il baisse mon slip et reprend de plus belle, les claques pleuvent de plus en plus fort et de plus en plus rapprochées je serre le dents et je résiste du mieux que je peux, à ce moment je suis sûr que Carlos se délecte, il a 25 ans et donne le fessée à un homme de 60 ans qui pour lui certainement représente son père, il y va de plus en plus intense, je souffre énormément jusqu'au bout, la fessée est réellement excellente car je suis sûr que celui qui me la donne ne l’a jamais reçue ni ne la jamais donnée, il ne sait donc pas doser et me pousse à donner le code rouge après environ 250 claques ,le derrière me cuit et c’est la première fois que je crie au secours.
Vraiment ce fut une très très bonne fessée.
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Roberto :
C’est un Bolivien de 26 ans pas très grand 1.60m que j’ai rencontré par petites annonces, on s’est mis d’accord au téléphone et les rencontres ensuite ont toujours été les mêmes.
Je téléphonais le dimanche soir pour se mettre d’accord sur l’heure du rendez-vous le lundi matin, en général vers 10H00 du matin après ma marche quotidienne. Arrivé à la huit (rue 8) je prenais un taxi et me faisais déposer rue Costa Rica à Miraflores un quartier de La Paz.
Je remontais la rue Costa Rica et prenais la première à gauche, je descendais environ 50m et je me pointais devant la porte, je téléphonais à Roberto pour qu’il descende me récupérer, la porte s’ouvrait enfin et je le suivais au deuxième étage là où il avait son studio, on entrait et on ne discutait pratiquement pas, son logement était bien isolé et en retrait des autres appartements.
Je posais mon sac, défaisais ma veste, il s’asseyait sur une chaise bien ordinaire, je me penchais sur ses genoux mains au sol, et il commençait une fessée sur mon jean, puis il baissait mon pantalon, il me fessait sur le slip qu’il baissait ensuite et me fessait sur les fesses nues, la fessée durait environ un bon quart d’heure jusqu’à que mes fesses soient bien rouges et me brulent un peu.
Ensuite le scénario était simple, je me relevais, je m’agenouillais sur le lit, slip et pantalon sur les chevilles, toujours avec mes chaussures, le cul rouge bien à l’aire, Roberto alors me bouffait le cul (beso de negro), je ne voyais pas grand-chose, certainement il baissait son pantalon et se branlait pendant cet instant délicieux de la feuille de rose, il mettait une capote , et il m’enculait direct, à chaque fois je tressautais car il entrait franchement et me laminais le derrière, pendant ce temps je me branlais énergiquement et j’éjaculais dans ma main avant que lui ne termine (en fait il m’avait dit qu’il aimait baiser sans capote et éjaculer dans le cul de ses complices, je n’étais pas d’accord avec lui) .
Roberto = fessée+anilingus+sodomie+branlette ou branlette assistée par spanked, rimed and fucked.
Je dois dire que quand je n’avais rien à me mettre sous la dent j’ai fait appel à lui une dizaine de fois moyennant une certaine contribution.


Ramiro : La méthode
Ramiro est un mexicain de 45 ans divorcé et travaillant pour la société des pétroles au Mexique.
Un fonctionnaire ordinaire, j’avais pris rendez-vous avec lui pour un premier contact, je l’avais déniché par les petites annonces.
Ce jour-là un jeudi je crois, je suis allé l’attendre à la sortie du travail sur le Prado, vers 16h30 je me faisais cirer les chaussures pendant que la meute des fonctionnaires s’éparpillait le long des trottoirs, c’est lui qui devait me reconnaitre , visage de gringo avec un sac à dos noir, il ne lui a pas fallu longtemps pour me repérer et saluer en me disant holà Franky, le cireur termina de cirer mes chaussures et je le suivi vers la place de ‘l’étudiant, je lui avait dit que nous pourrions nous voir dans une maison située dans la rue la J.J.Perez, ou l’on pouvait louer une chambre pour une heure,
Nous arrivâmes devant la po ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Soumission/domination