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Le chantier

Publié par : pachapassif le 22/08/2019

J’ai la cinquantaine bien tassée et suis bien conservé, pour cela je pratique la marche à pied et je vais à la salle de sport 2 ou 3 fois par semaine, je suis marié depuis assez longtemps et mes relations avec mon épouse sont au point mort. L’une des promenades que je fais souvent est d’aller prendre mon café à la gare, environ 45 mn aller-retour ce qui est un bon exercice pour la santé. Bien sûr comme tout promeneur je suis très curieux de l’environnement et de de tout ce qui se passe autour de moi au fur et à mesure que je progresse dans ma sortie. J’avais remarqué entr’autre qu’on avait démoli un vieil immeuble et que l’on avait construit une série d’environ dix maisons individuelles, le chantier touchait à sa fin et seuls quelques ouvriers faisaient les finitions et chaque fois je m’arrêtais pour contempler l’avancement des maisons , j’en profitais pour saluer les deux ou trois ouvriers qui travaillaient, des maghrébins comme la plus part du temps, je pense qu’ils étaient là au moins depuis six mois . Ce jour-là, je m’arrêtais certainement un peu plus longtemps que d’habitude ce qui me valut la visite de l’un des ouvriers assez âgé environ 60-65 ans et qui me salua je répondis poliment et il entama la discussion avec moi.
- Bonjour me dit-il comment ça va ?
- Bien lui répondis-je et vous je vois que cela fait longtemps que vous travaillez ici
- Oui me dit-il nous sommes Algériens et nous attendons la fin du chantier pour rentrer chez nous, pour revoir nos familles et nos enfants.
- Cela doit être bien difficile pour vous et surtout par ce froid, je me souviens quand j’étais en Algérie du beau temps qu’il faisait et de la douceur du climat
Le regard de mon interlocuteur a changé lorsque je lui ai dit que je connaissais l’Algérie et il m’a tout de suite demandé si je voulais prendre un café avec eux, cela tombait bien c’était l’heure de leur pause.
- Je ne voudrais pas vous déranger
- Mais tu ne nous dérange pas, je m’appelle Mohamed, et mes collègues Omar et Salim seront très contents de faire ta connaissance, on a une cafetière et du pain au premier étage de la maison au fond à droite, alors cela vous dit ?
- J’acceptais avec un peu de réticence et je suivis Mohamed vers la maison.
Je rencontrais Omar et Salim qui avaient l’air de nous attendre au bas de l’escalier, on se salua et nous montâmes au premier étage de cette maison presque finie, la pièce était surement une future chambre pas très grande il y avait un radiateur électrique qui chauffait l’ambiance, il y avait aussi une cafetière et des coussins à même le sol et enfin un matelas dans un coin.
Mohamed fit signe de m’asseoir et Omar me servit un café assez rapidement, je me demandais encore ce que je faisais ici, en fin de compte Mohamed entama une discussion sur la famille et sur leur isolement forcé pour pouvoir retourner au pays, il dérivât très vite sur le fait qu’ils n’avaient pas beaucoup d’opportunité pour satisfaire certaines de leurs envies.
Je ne voyais pas très bien où il voulait en venir, mais j’allais le savoir assez vite, en effet car Mohamed relatât les contacts qu’ils avaient eus avec un curieux comme moi qui s’était arrêté dans le chantier.
Mohamed me regarda droit dans les yeux et me demanda directement :
-Tu ne veux pas nous servir de femme ? On a bien vu à chaque fois que tu passes et que tu t’arrêtes devant le chantier, tu mates et tu rêves un peu alors on s’est dit celui-là il est bon pour la casserole.
Je restais interloqué et me demandais ce que devait être ma réaction face à cette proposition.
-Je me surpris à demander : pour les trois ? Et maintenant ?
-Oui me répondit Mohamed, et c’est moi qui commencerais, on ne te fera pas mal et finalement tu vas aimer.
-Je n’ai pas beaucoup d’expérience mais je veux bien essayer après tout on verra bien il est dix heures et ma femme ne m’attends pas avant midi. Tout était dit je venais de me livrer à trois arabes pieds et poings liés pourrait-on dire vu la situation dans laquelle j’étais.
A partir de ce moment les choses se sont accélérées , Mohamed s’est levé, ses collègues le regardaient il s’approcha de moi qui était encore assis sur le coussin, il me fit signe de me mettre debout ce que je fis comme un pantin, il me demanda de me déshabiller devant eux trois, je ne me sentais pas à l’aise mais maintenant il fallait s’assumer, je défis ma veste, ôtait mon tricot et ma chemise, je débouclais ma ceinture et défis ma braguette , le pantalon tomba sur mes chaussures et me retrouvais à disposition , Omar s’était rapproché et venait de m’enlever mes chaussures et chaussettes, il tira sur mon pantalon et le jeta un peu plus loin, Mohamed fit passer mon tricot de peau par-dessus tête et finalement je me retrouvais en slip. Je n’en menais pas large à cet instant précis.
Mohamed se posta derrière moi je ne pouvais le voir, je sentis ses mains qui parcourait mon corps générant des frissons sur ma peau, très vite il s’empara de mes fesses et me pelota comme un fou , je sentais que son excitation montait, je le sentis appuyer son sexe contre mon arrière-train , Omar pendant ce temps avait sorti son sexe et se masturbait en voyant la scène, Salim se touchait le bas ventre et ne bronchait pas trop, de façon un peu autoritaire Mohamed me fit pencher en avant , baissa mon slip et me fit écarter les jambes, je l’entendis cracher dans ses mains et aussitôt il humecta mon anus et sans formalité il me viola de façon relativement douce mais il s’enfonça jusqu’à la garde dans mes entrailles et me laboura le cul comme on baise une femme, dans la position où je me trouvais il m’était difficile de refuser la bite de Omar qu’il me proposait de sucer, ce que je fis , j’étais en train de me faire enculer par deux arabes (c’était une première fois avec des arabes)
Mohamed fit plusieurs aller-retour comme s’ il baisait une femme , je le sentais entrer et sortir presqu’entièrement de mon cul et poussait des gémissements de bien-être, Omar s’en donnait à cœur joie aussi me prenant la tête avec ses deux mains et se branlait très fort dans ma bouche, en fait il me baisait la bouche et profondément, en vue de profile je devais apparaitre comme embroché, Salim ne bougeait pas il se frottait aussi l’entre-jambes et je me demandais ce qu’il me réservait celui-là, Mohamed finit par éjaculer très fort en plusieurs saccades à l’intérieur de mes reins, Omar se retira aussi, enfin un petit moment de repos, Mohamed me fit signe d’aller sur le matelas, j’étais nu comme un ver alors que eux restaient habillés.
On me fit comprendre de me mettre à quatre pattes Mohamed fit signe à Omar qu’il pouvait m’enculer à son tour, j’étais en position pour le recevoir, il se pointât à l’entrée de mes fesses et me pénétrât aussi de manière assez brutale ce qui me fit relever la tête sous le coup de boutoir que je venais d’encaisser, à son tour Omar me labourait le cul comme s’il n’avait pas baiser depuis des semaines, pendant ce temps je n’avais pas remarqué Salim, en fait il était nu complètement et se trouvait très près de moi, debout se masturbant doucement à hauteur de mon visage, l’horreur c’est que sa bite était énorme : eh oui me dit Mohamed tu comprend le sens du mot passer à la casserole 23 cm et 6cm de diamètre, je regardais Mohamed avec pitié l’implorant de ne pas me livrer a Salim, il n’y aura pas de problème me répondit-il, tu vas le sucer tout d’abord et puis on va t’aider pour la pénétration, Omar venait de jouir aussi et se libéra me laissant dans mes réflexions et ma peur de cet engin, de cette matraque. Je venais de me faire enculer par deux arabes et il fallait que je me farcisse le troisième et tout en donnant spectacle aux deux autres qui attendaient de me voir souffrir.
Sur les indications du meneur je m’agenouillais de profil sur le matelas, Omar et Mohamed s’assirent devant le matelas sur leur coussin en bons spectateurs, Salim toujours debout s’approcha de moi il monta sur le matelas et se mit en face de moi m’offrant son énorme sexe qui était très bandé, je tournai la tête vers Mohamed avec un regard d’ultime supplication, mais rien n’y fit , il me fit signe de sucer , je me retournai de nouveau vers Salim , j’ouvris la bouche le plus grand possible, Salim m’attrapa la tête avec ses deux énormes mains et enfonça son sexe dans ma bouche sans trop forcer dans un premier temps puis en insistant un peu sur ma glotte, j’étouffais complètement mais il parvint à violer ma bouche de ses 23 cm et faisait des aller-retour se servant de moi comme d’un sexe de femme .
Je me surpris à prendre ses deux fesses entre mes mains et j’accentuais de ce fait ses mouvements ...

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