Histoire vraie
Lors de notre deuxième rencontre, nous sommes passés à un stade supérieur.
Elle habitait une petite commune à deux pas d’un village où je possède des terres agricoles avec un cabanon de 25 m2. Nous avions déjà baisé chez elle la première fois, je lui proposai donc d’aller nous promener en campagne et de voir ce qu’il allait arriver. Elle accepta d’enthousiasme.
Je passai la chercher et elle préféra prendre sa voiture. Comme d’habitude en été, elle portait une jupe sans rien dessous, et je profitai du court trajet pour la doigter pendant qu’elle conduisait. Elle allait vite, excitée à l’idée de rejoindre au plus vite mon havre de paix. Tout en introduisant deux doigts dans sa chatte, je lui indiquai le chemin en lui susurrant des insanités à l’oreille. Elle avait le feu aux joues et l’humidité entre ses lèvres.
Nous arrivâmes sur mon terrain et elle roula sur l’herbe jusqu’au cabanon. Nous descendîmes et j’ouvrai la porte décorée de jolies toiles d’araignée. Le soleil estival lui avait mis le feu aux entrailles, elle me collait aux fesses et tripotai ma bite par derrière et je décidai de ne pas y aller par quatre chemins dès qu’elle me suivit dans le cabanon. Je me tournai et lui mis une gifle, pas trop fort. Elle sourit de toutes ses dents, elle en prit une autre. Je la pris vigoureusement par le bras et la fit s’agenouiller dans la poussière. Je sortis ma bite et forçai sa bouche sans trop de résistance. Elle adorait sucer et je dois avouer que c’est l’un des meilleures suceuses que j’ai rencontrées dans ma vie.
J’étais dur et la fis se lever, je penchai son buste sur la table, ses seins écrasés par son poids. Elle s’accrocha à la table et je relevai sa jupe. Je lui administrai deux gifles retentissantes sur son postérieur rebondi, elle encaissa avec un hoquet. J’ouvris ses fesses, humidifiai mon majeur que j’introduisis dans son cul. Je masturbai son cul lentement, elle haleta de bonheur. Après quelques minutes, je la pris debout en levrette pour lubrifier ma bite puis l’enculai. Je vous ai dit qu’elle adorait la sodomie ?
Je la bourrais gaillardement, elle poussait des petits cris ; la table tremblait et cognait contre le mur en pierre, elle s’y accrochait pour ne pas cogner elle-même contre le mur. Excité par la situation, je ne tardai pas à jouir dans son cul avec un râle puissant. Je débandai dans son cul et sortis ma bite ramollie. Elle se tourna avec un sourire canaille et m’embrassa à pleine bouche en pétrissant mon sexe. La fraîcheur du cabanon était apaisante comparée à la fournaise extérieure.
- Wow c’était intense ! dit-elle. Toujours ce sourire…
- Oui, intense. Déshabille-toi complètement. Garde tes chaussures.
Son regard se troubla mais elle s’exécuta. Elle fit glisser sa jupe que je posai sur une chaise, exhibant son sexe épilé. Elle leva les bras et fit passer son tee-shirt blanc par-dessus sa tête, puis attrapa l’agrafe et défit son soutien-gorge, libérant ses énormes seins. Je m’approchai d’elle et lui passai un collier, elle déglutit mais se laissa faire. J’attrapai la laisse métallique et la crochetai au collier.
- Suis-moi, je te montre mon terrain.
J’avançai vers la porte et tirai sur la laisse. Elle me suivit docilement, descendit les trois marches en se tenant au chambranle de la porte et se retrouva sous la tonnelle ombragée et dans la chaleur de l’été provençal. Nous marchâmes une vingtaine de pas vers la martellière, le bruit de l’eau était reposant. Nue, le regard vers le village, elle admirait le Luberon.
- Reste ici, je reviens.
J’attachai la laisse au figuier qui marquait la martellière et repartit vers le cabanon. Je farfouillai dans la caisse à outils et pris un sécateur. Je fis le tour du cabanon et coupai une branche de laurier que j’effeuillai puis revins vers elle. Ell ...

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